QU'est-ce qu'un polype?
Le polype est un être étrange et à part, qui a fasciné de nombreux philosophes des Lumières (Voltaire...) mais également des poètes mais aussi des lycéens.
Pour cela, Florence nous a demandé d'exprimer par écrit ce que le polype nous inspire...
Binita et Emilie
Binita
Le grand polype est d’une beauté imparable
Tel l’hydre de Lerne, d’un coup d’épée formidable
Les deux parties coupées repoussent à l’identique
Planctons ? Connexion neuronale ? L’hydre fantastique
Nous laisse recours à notre propre imagination
Sa régénérescence attire fortement notre attention.
Quel nom donne-t-on à cet extraordinaire être ?
L’appelons-nous Polype, Narcisse ou encore Hydre ?
Son corps jaune et sa morphologie longiligne
En l’observant il a une forme anodine
Ô belle plante viens à moi et fais une danse
Prends-moi dans tes bras, amène-moi l’abondance
Emilie
Dans le noir plongé dans l’espoir
Remuant mer et terre
Se glisse vers la lumière
Afin de voir son univers
Sortie de sa cachette
Elle nous montra sa tête
Puis elle ouvrit les yeux
Et découvrit sa planète
Ayant cru qu’elle était un eucalyptus
En découvrant qu’au final c’est un chiwawus
Elle se dit que sa vie est nulle
Donc décida de repartir voir Marius
Hugo
L’hydre immortelle
Dans la noirceur illumineuse de la mer
On retrouve une créature élémentaire
Depuis la nuit des temps elle exécute une danse
Avec ses millions de corps, et crée une abondance
De la terre jusqu’à l’éther voici Androgyne
Des corps masculins et des ombres féminines
Célébrant le culte de la reproduction
A travers un mouvement de séparation
Le mystère de Vénus issu de l’hydre
Voici la créature qui détient LE Philtre
Le polype détient l’immortalité
A travers son art il touche la postérité
John
Le polype illusionniste
Oh Polype !!! Corps stupéfiant
A la couleur du feu
Comme une fleur
Ta beauté se régénère
Ta forme donne l’illusion d’un nerf
Ta beauté cache ton instinct de prédateur
On se saura jamais déterminer ton humeur
Comme le ciel tu n’as ni frère ni sœur
Ton corps indescriptible
Me fait penser aux branches d’arbres
Telle une vipère tu attaques tes proies
En un éclair
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